Ouverture de la taverne

La taverne était maintenant ouverte Bobi attendait l'arrivée de tourriste ou autre boit sans soif...

Glam, voyant une nouvelle taverne s'ouvrir, entra par curiosité. Il fit un tour d'horizon pour se rendre compte de la décoration.
Il pensa:

*J'espere que la biere va couler à flots.*

Voyant Bobi derriere son comptoir, il lui dit:
Euuuh, patron une bonne gueuze , sioupliait!

Bobi se tapa la tête sur le comptoir quand il entendit son nom

Glam! Bienvenue!

Dit-il en se grattant la têt.e

Une gueuze tu veux, sans problème ce sera justement la spécialité ici!

Bobi alla dans une salle fermée par un grand lé de tissus. Salle qui sera prochainement réservée à leurs différents jeux.
Il revint avec un tonnelet et le support qu'y l'empêcherait de glisser sur le comptoir. Un robinet de fortune en cuivre à ouvrir et la bière alla remplir deux chopines.
Ha! santé l'ami et comme on dit "Au plus que tu la goûte, au mieux que ça te goute"

Kurai entra dans un lieu qui lui semblait être une taverne, de par l'enseigne extérieure symbolisée par une chope de boisson. L'endroit était quelque peu vide, et il s'adossa au comptoir en regardant les gens présents, rabattant une mèche de cheveux qui lui tombait sur le visage.
Les gens du coin ne semblaient pas habitués à sa tenue vestimentaire. Il rit intérieurement puis regarda le tavernier qui vint lui parler. Heureusement pour Kurai, qui parlait à peu près la langue occidentale.

Bonjour mon brave, auriez-vous l'obligeance de me servir un saké, s'il vos plait ? le meilleur que vous ayez. Prenez soin de le faire tiédir un peu.

Ayant passé sa commande, il se retourna puis lança une pièce de cuivre dans son dos, celle-ci atterit sur le comptoir en éméttant un petit bruit métallique.
Kurai machouilla ensuite un brin d'herbe qu'il avait cueilli sur le bord d'un chemin...
Avaient-ils au moins cet alcool dans ces contrées?

Bobi regarda l'animal entrer. Enfin l'animal était ce qu'il en pensait en le voyant avec ses drôles d'attitudes, ses vêtements. Un accent à tirer par les cheveux lui demandant du Saké. Mais c'est quoi du saké...

Bonsoir monsieur et bienvenue, vous désirez un saké! Malheusement je n'en possède pas et je ne connais pas cette boisson...

Bobi gardait un ton neutre et curieux devant ce grand homme sans trait d'émotion sur le visage.

Ici nous servons de la bière et de l'alcool de rhubarbe...

Kurai haussa un sourcil quand il entendit l'homme lui répondre. Il s'y attendait un peu... Il inspira puis se retourna.

Ce n'est point grave. Servez-moi donc une boisson alcoolisée, mais toutefois légère. Je n'ai pas pour habitude de me rendre ivre, et je préfère garder les idées claires. Toujours sur mes gardes...

Il tripota la poignée de sa lame puis interrogea du regard le tavernier afin de savoir si la monnaie qu'il avait déposée sur le comptair était suffisante.

La nuit venait de tomber et avec elle l'orage s'abbatit sur l'auberge.
Alors que les éclairs déchiraient le ciel, la porte de l'auberge s'ouvrit brusquement, laissant entrer un bien sombre personnage.
Entierement vétut de noir, l'homme portait une lourde cape de fourrure noires à ample capuche qui dissimulait son visage. Seuls quelques longue mèches blanches s'échappaient de sous sa capuche. Il avancait en s'appuiant sur une canne de bois d'ébène dont le pommeau etait une sphère de crystal, et seul le bruit de sa canne se fit entendre lorsqu'il s'avança vers l'aubergiste après que la porte se soit violement refermée.

Bonsoir à vous Messieurs, Triste soirée pour voyager... Auriez vous une place près du feu pour un vieil homme fatigué par une longue route?

Alors qu il prononcait ces mots, sa voix ne fut plus haute qu un murmure
Il posa alors d'une main gantée de velour noir quelques pieces d'or sur le comptoir.

Ainsi qu'un bon repas et une théiere d'eau bouillante s'il vous plait...

Bobi prit la pièce du comptoire avant de servir l'étrangé
Il servit une bière trouble à cet homme

Voici, ce que nous appelons de la bière, nous la fabriquons ici même.
Comment êtes vous arrivé jusque ici?

Le jeune homme prit le verre de bois entre ses mains et jugea son aspect. Il gouta un peu le breuvage, et fut surpris de sentir une sensation de picotement sur sa langue. D'autant plus que ce n'était pas mauvais, ça méritait bien sa pièce.

Bière? Humm...
Je viens de l'est, de par des contrées lointaines. En quête d'aventure.

Il se tut quand un vieil homme entra dans l'établissement, visiblement lui aussi étranger à la région.

Le reste... N'a pas d'importance.

Kurai but une gorgée de sa bière, puis reposa doucement la chope sur la table. Il porta ensuite la main vers l'intérieur de son kimono de lin...

L'orage se fit entendre de loin, tandis qu'il servait une bière à l'étrange homme, Un éclair éblouit la pièce... Un viel homme d'apparence fit son apparition...

Bonsoir monsieur, étrange soirée que celle-ci!

Une lourde bourse se vida devant les yeux de Bobi

Mais certainement monsieur, avec plaisir!

L'étrange homme resta de nouveau de marbre devant cet individu posé et, interressant pour Bobi, riche.

Je vais voir ce que je peux vous servir à manger, voulez vous de la compagnie en attandant que votre eau boue?

Par compagnie Bobi entendait une des nombreuses garces qu'il hébergeait

Ne vous torturez pas pour le repas... du pain et un peu de fromage feront l'affaire...

Se dirigeant alors vers une table près de la cheminée il ajouta :

Merci pour la compagnie...mais je ne recherche point la chaleur de quelques comcubine que se soit...

Il se laissa glisser sur une chaise, face au feu, sans pour autant se devetir ou enlever sa capuche...
Puis d'un geste de la main en direction de Kurai Hitogoroshi...

Et offrez donc un autre verre à ce jeune homme... Il doit avoir egalement avoir fait une longue route... Et lourd est le coeur d'un homme loin de son foyer...

Le rônin assista à la scène en silence. Cet homme lui inspirait à première vue la méfiance, mais il ne s'avérait point hostile. Quand le tavernier s'éxécuta pour lui servir un autre verre, il comprit que ce n'était pas un cadeau de la maison. Kurai ferma les yeux puis finit son verre, avant de prendre celui qui lui était nouvellement servi. Il se dirigea ensuite vers la table du vieil homme et prit place.

Vieil homme, tu as vu juste. Je viens en effet de très loin, et comme moi, tu m'as l'air de traîner un lourd passé. Je n'aime pas me mêler des affaires des autres sans y être invité, mais mon intuition se trompe rarement.

Il se tut un moment, puis observa son interlocuteur. Un bref sursaut sur son visage lui confirma ce qu'il avançait.

Appellez moi Kurai. Dites moi, vous aussi vous aimez cette boisson, la "bière" ?

Alors que le jeune homme s'était approché de lui, le vieil homme poussa de sa canne une chaise de sa table pour inviter à s'asseoir.

La biere est une boisson courrante par bien de nombreux territoires... Mais elle n'est certainement pas aussi rafinée que "le Saké"...

Il tourna alors la tête vers son jeune interlocuteur, et de sous les ténèbres de celle ci, brillèrent deux lueurs dorées.

Vous voilà fort loin de votre patrie mon jeune ami...
Dites-moi, qu'est ce qui peut bien éloigner un jeune samouraï ou plutot devrai je dire 浪人 (ro'nïn) du Japon?

Le jeune homme devina un sourrire sous la capuche de son interrogateur lorsqu il prononça ce mots dans sa langue natale...

Le pain fut facile à trouver, pour ce qui était de la viande, il plongea une grande louche dans une casserole de bouillon de poule qui mijotait dans la cheminée pendue sur un grand esse.
Apportant le repas, il alla prendre des couverts propres dans un tiroir et s'avance de la table.

Voici! Je vous apporte de suite le pain.

Par curiosité, retournant sur ses pas Bobi essaya d'écouter se que pouvait se raconter ces deux étrangers. Le pain porté. Pain peu riche en céréales car Bobi était, tout comme les commerçants du coin, un peu trop avare. Il retourna vers son premier hôte...

Ade arriva dans la taverne. Le monde était présent.
Dans sa sacoche, elle avait mit une bouteille De Café Ardennais, et portait un casier de Bières Jupiler.

Quelque chose bien de chez elle!

Ouverture de la taverne Cafardennaisbj6

Ben voilà!
Un café Ardennais pour tous! Vous ne connaissez pas! Vous allez adorrreeeeez!!!

Une charette s'arreta devant la taverne

Sasha! Le livreur est là!

Bonjour Ade, comme d'habitude?

Tandis que sasha s'occupait de décharger les bras de Ade. Bobi servit une gueuze.

A ta santé! Tu tombes à pique, je n'avait plus rien de costaud à servir.

Oubliant de régler la note du livreur, Bobi mit la bouteille à chauffer en la plongeant dans la marmite qui chauffait dans la cheminée

Alors Ade, je vois que tu as su garder tes chevaux malgré les temps qui court?

Kurai ne se préocuppait plus de ce qui se passait alentour. Cet homme l'intriguait. Comment avait-il pu deviner ses origines et, qui plus est, parler en japonais.
A défaut d'avoir beaucoup voyagé, il devait être très instruit. Il ferma les yeux puis sourit.

Je ne sais pas qui vous êtes, mais vous semblez connaître beaucoup de choses. En effet, on ne peut rien vous cacher... J'ai parcouru la Mer du Japon à bord d'une embarcation marchande, et j'ai accosté dans un pays que l'on nomme "Inde". Mes pérégrinations m'ont mené en ces lieux... Je vis des nouvelles terres que je vois, et de tout ce que le monde peut m'apporter.

Il s'affala sur sa chaise.

*Hé bien, ça ne me ressemble pas de me dévoiler ainsi... Mais cet homme, aussi étrange soit-il, semble capable de lire dans mes pensées...*

Kurai se gratta la tête, puis but de sa bière.

Fort bien, et d'où vous vient cette connaissance de mon pays ? Y avez vous même déja voyagé?

Ah non, c'est pas le même cheval, celui-ci c'est Vénus.

Euh l'autre est mort.
Va savoir comment, il est tombé. Hum pas de chance, sa tête a atterit sur une fourche, euh..
pas trés beau a voir les yeux plantés là enfin bref ...
J'ai vendu la viande a mon voisin, il paraitrait qu'elle était bien tendre!

Il a egalement garder les boyaux pour faires des sacoches, pour mettre ses semences...

Euh bon, ne me demande pas pourquoi ni comment!

Après avoir remercié l'aubergiste d'un signe de la tête, il sortit une bourse de cuir de l'interieur de sa cape et l'ouvrit...
Une odeur acre s'en échappa aussi tot , il prit une pincé de plantes séchées dans cette dernière et les laissa tomber dans la théiere...

Ainsi vous êtes bien un « homme errant »...(traduction litérale de ronin)
Disons que j'ai vu beaucoup de choses au travers de mes voyages et de mes lectures...
Et la culture de votre peuple ne m'est pas totalement étrangère...

Une autre lueure dorée sintilla sous la large capuche de l'homme
Et il ajouta d'un murmure à peine audible...

Ne craignez point pour le securité de vos pensées mon jeune ami...
Votre tenue et votre maintient parle bien d'eux même quand a vos "nobles" origines.

Le ton de voix de l'homme se fit très etrange sur le terme "nobles"...comme s'il voulait sous entendre quelque chose

Alors qu'elle se promenait dehors, sous l'orage, Sashana vit une lueur au loin. Elle provenait de la taverne, qui avait l'air pleine de monde.

Elle fut prise d'un désir subit de compagnie après ses longs voyages solitaires. N'hésitant qu'un court instant, elle franchit le seuil de la taverne.

L'intérieur était sommaire, mais il y faisait chaud, et une bonne odeur se dégageait de la marmitte suspendue au dessus du feu de bois.

Elle s'assit a une table, un peu à l'écart, observant les autres occupant de la taverne. Elle fut particulièrement intriguée par le vieil homme vétu d'un long manteau, qui semblait la dévisager.
Elle chercha le tavernier des yeux et le hélà.

Tavernier, servez moi de ce brouet qui mijote! Et pouvez vous me dire ce que vous servez comme boissons en ces lieux?

L'arrivée de la jeune femme attira l'attention du "vieil homme" une fraction de seconde, comme s'il "sondait son ame" d'un regard soutenu, il la regarda quelques seconde avant de porter son attention vers l'autre jeune femme qui était entrée quelques minutes avant ... il la regardé de la meme maniere, et bien que son visage fut dissimulé sous sa lourde capuche, le jeune ronin put aisément deviner que le soit disant "vieillard" ne les regardait pas d'un simple regard car il vis clairement deux yeux jaunes, presque d'or, briller sous sa capuche que celui ci se retourna vers lui...

C'est un bon soir pour cette auberge... Beaucoup de gens voyage de nuit apparement...

Puis, après avoir laissé ses derniers mots flotter dans l'air , il continua a manger a tres petites bouchées son frugal repas

Etant resté silencieux face à la remarque de son interlocuteur, Kurai remarqua qu'il ne valait mieux pas soulever le problème. De toute évidence, plus il parlerait, plus il en saurait sur lui. C'est alors qu'il intercepta le regard de l'homme quand il observa deux jeunes femmes. Un regard... Inhumain. Cette sensation le mettait mal à l'aise, et il but de sa bière pour ne pas laisser transparaître son sentiment. Kurai s'éclaircit la gorge.

La nuit est en effet plus propice aux nouvelles rencontres... Quelles que soient leur nature...

Il regarda l'homme manger, et son écuelle. Non pas que ce qu'il y vit lui donna particulièrement envie, mais cela faisait quelques temps qu'il n'avait pas mangé. N'osant pas risquer son argent dans un plat qui avait des chances de ne pas lui plaire, il hasarda une question.

Euh... De quoi s'agit-il?

Le rônin désigna l'assiette du menton.

Alexis et Magda trouvèrent enfin une taverne, et s'y réfugièrent pour se protéger de l'orage.

Euh... Bonjour! fit Alexis en constatant que tous les regards se tournaient vers les deux arrivants.
**Je crois que les gens arrivent au compte-gouttes dans cette taverne.** lui dit Magdea par télépathie.
**Oui, et ils sont tous... bizarres.**
**C'est qu'on est à une croisée des mondes.**

Les deux jeunes gens trouvèrent une table libre, et y déposèrent leurs affaires. Alexis s'assit tandis que Magdea allait chercher de quoi boire et manger au bar, où se tenait l'aubergiste.

Ho! Pauvre bête! Ce cheval était si courageux et si gentil. Mais je vois que le nouveau est assez vaillant pour sortir sous la pluie.
Surveille le café, je vais servir les arrivants...

Une femme transie de froid entra sa veste dégoulinait sur le sol. L'eau ruisselait pour disparaitre sous la porte.

Bonjour et bienvenue dans la taverne du temps. Je suis Bobi, propriétaire de cette taverne.

Avez-vous de quoi payer le bouillon?

Il retourna vers son livreur qui était resté accoudé au comptoir...

Hé bien! Je pourrai m'octroyer un dessert ce soir. Tu veux bien surveiller le café le temps que je serve le repas à cette dame?

Bobi servit une assiette de poule à la nouvelle venue. Lui apportant, il ramassa l'écus qu'elle avait déposé à son encontre. L'orage s'éloignant rentrèrent deux individus. L'un s'assit tandis que l'autre s'approchait...

Sashana dut attendre un petit moment avant que le tavernier ne la serve, mais il y avait beaucoup de monde...

Enfin, il arriva avec une assiette remplie de bouillon de poule. Une bonne odeur lui emplit les narines. Ca faisait longtemps qu'elle n'avait plus pris un bon repas, meme si celui qu'elle s'aprettait a manger était plus composé de pomme de terre et de pain que de viande. Elle ne trouva qu'un ou deux minuscule morceaux de poulet.

Merci tavernier, mais vous avez oublié de me dire ce que vous servez comme boisson ici, et j'ai grandement soif.