Déavelina Novice
Nombre de messages : 12 Localisation : Martinique Expérience : Scénarios joués : Habilité aux jeux : Date d'inscription : 27/05/2008
Feuille de personnage Age du perso: 22 ans arme préférée: haches de lancés Terre d'origine:
| Sujet: Déavelina et son Léopard Ven 30 Mai - 4:49 | |
| Il y a bien longtemps, une jeune femme habitait au royaume d'Ursak, un puissant homme qui lui en voulait a sa vie à cause d'un malheureux tribal. Pas qu'un simple tribal, non, loin de là, c'était une marque qui était bien vivante, qui grandissait à chaque pleine lune, où d'ailleurs, on ne la voyait jamais. Déavelina avait 15 ans quand tout débuta. C'était un soir. Son village était tranquille, pas le moindre signe avant coureur de l'arrivée de la mort. Tout le monde se trouvaient autour d'un banquet bien garnit. Les danseuses faisaient leur court habituelle, les hommes discutaient entre eux, les femmes amenaient les sangliers bien rôti sur la table ainsi que la bière fraîche et les enfants jouaient et couraient autour du feu. C'était la joie, rien de plus simple que la bonne entente entre membre du village. Moi, Déavelina, j'avais réussit à me faire punir et mon père Herphor, m'avait emmené de force prêt d'un arbre et m'y avait attachée, là, toute seule, à l'écart de la foule joyeuse, je fus la petite oubliée dans l'ombre, le témoin d'un soir trompeur, d'une nuit chargée de sang et d'horreurs. Personne ne savait si j'existais. Dans cette nuit calme et chaleureuse pour les autres et glaciale, et triste pour moi, je pleurais sous cette arbre qui m'écoutait et qui me consolait de ses branches courbées au raz du sol, à chaque fois qu'une légère brise de vent passait, son feuillage effleurait délicatement ma peau fine et fragile. Je n'avait que 15 ans et se soir la... ce fut la plus horrible de toute ma vie.
Tous le monde chantaient et dansaient accompagnés des flûtes traversières et du mini tambourin d'Elios, un jeune garçon qui devait être mon fiancé. A cette époque, seule mon père Herphor et ma mère Rana choisissaient leur gendre et moi, bien sur, à mes 15 ans jamais je ne me fiancerais à quiconque. Je préférais mourir plutôt que m'offrir à un homme que je n'aimais pas et que je n'aimerais jamais. Entêtée que j'étais, je me rebellais quoi qu'il en coûte et justement, c'est pour une banale histoire que mon père m'avait puni ce soir là. Je me mis à pleurer ne sachant pas pourquoi, puis mon bras gauche commença a me faire mal. Au début je ressentais un battement léger dans mon bras, puis, après, il commença à me lancer fortement puis violemment. C'était insupportable. Je poussai un gémissement de douleur et un crie soudain y succéda. Je me mis debout rapidement, la douleur était insupportable et bientôt, le sang coulait de mon tribal qui se mit à bouger, puis changer de couleur. Rouge et bleu furent les seules couleurs qui jouaient dans mon tribal. Un seul mot hurlé sorti de ma bouche et la fête s'arrêta brièvement. -PAPA!!Tous regardèrent en direction du sol pleureur auquel je fus liée et mon père, chef de la tribu s'exclama: - Insolente va! continuons notre fête! Et c'est ainsi que la fête reprit de la vigueur et moi, plus je hurlais et moins on m'entendait. -Je vous en prie...! Dans le noir, sous l'arbre, je saignais, se sachant pas pourquoi et soudain, je ne sentie plus mon corps, en revanche, le silence m'avait gagné et la flaque d'eau claire qui se situait juste à coté de moi reflétait la lune bien ronde et des yeux rouges sang...j'eus même un teint assez pâle. Je ne fus point effrayée car je ne vivais plus mais quelque chose d'autre vivait pour moi. La lourde chaine se brisa facilement juste en tirant légèrement et voici que je mon corps se dirigeait vers mon père qui me donnait son dos. Arrivé derrière lui, mon pauvre corps envouté saisi son cou, et prisa sa nuque. Tous les bruits s'estompèrent. Mon regarde rougeoyant fixait Elios qui resta pétrifié sur place en voyant mon visage si sévère et doux en même temps. Je m'approchai de lui et ne sachant d'où vint l'arbalète-pistolet, je tirai sur lui et la fléchette vint se planté au milieu de son front. Personne ne comprit et c'est là que je sortie une hache sur mesure très légère et mon sabre d'Onyx. Se soir là, le sol but le sang de toute un tribu insouciante.
Peut après mon carnage, Ursak, arriva sur les lieux. Voyant le sang répandu, les morceaux de corps éparpillés au sol, il me chercha parmi eux ne me trouva point. Il en déduit que j'étais en vie et ses recherches parcoururent le royaume. Heureusement j'étais en route vers des contrées lointaines.
7 ans plus tard, j'ai 22 ans et il ne m'a jamais retrouvé, mais dernièrement, du pic des morts, je le vis dans la forêt en contre bas et lui aussi me vit. Je partis du Pic immédiatement. En route j'ai rencontré un léopard qui est devenu mon fidèle compagnon. Maintenant, nous voici arrivés à une frontière, cherchant des réponses à cette étrange marque partant de mes ongles et s'arrêtant à mon cou.
Trouverais-je une réponse sur se que je suis et pourquoi cette étrange chose vivante sur mon bras gauche attire tant ce puissant homme en la personne d'Ursak et me permettant de dialoguer par télépathie à Léthra?Présentation: Déavelina & Léthra: Ses armes: La Dague des ombres: Le Sabre des ombres: Hache légère: Arbalète-pistolet : | |
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